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Les conclusions de l'enquête Anna Lindh,portant sur les perceptions des sociétés de l'espace Euro Méditerranéen du rôle joué par les femmes aux diverses sphères politiques économiques sociales et culturelles. Nous faisons face à différentes perceptions. Même si la pesanteur de la norme de genre est toujours opérante dans la vie de ces sociétés. Au niveau régional, d'abord,la région apparaît comme un espace à frontière peu étanche émouvant même si globalement deux  groupes géographiques se dégagent.

 La ligne de démarcation entre ces deux groupes n'est pas efficiente à tous les niveaux. À l'intérieur du même groupe des différenciations sont aussi visibles. La démarcation nette entre l'Europe et le Sud et l'Est de la Méditerranée n'est pas évidente n'est pas une constante. La perception est presque identique. Comme t'a un rôle économique des phares très soutenus. La région de L'Europe n'est pas toujours la mieux placée dans  tous les domaines. La perception du rôle social et culturel des femmes, mais devant des piles du sud et de l'est de Méditerranée . 

Dans les domaines social et culturel. Quant à la réduction  du rôle des femmes, les écarts sont creusés avec une ligne de démarcation nette entre l'Europe d'un côté est la région du sud et de l'est de la Méditerranée de l'autre côté . De tout cela se  dégage un exemple singulier.

Celui de la Tunisie. Une distinction nette pour une participation des femmes plus renforcées en Tunisie qui apparaît à travers la perception des hommes et des femmes  en même temps. En tête de liste, la Tunisie vient avec presque 30 % en faveur de la participation  des femmes dans le domaine économique. Elle vient aussi en tête de liste avec 71% pour un rôle plus important des femmes dans le domaine culturel et social. En tête aussi, la Tunisie vient avec ses conflits pour son en faveur de la participation des femmes en politique.

 Il n'est clair où nous  sommes en face d'une singularité tunisienne, une singularité malgré les fragilités du contexte post  révolutionnaire marqué par une crise économique et la montée de l'islamisme et de l'extrémisme violent. Depuis son indépendance la Tunisie s'est dotée d'une législation progressiste même si jusqu'à aujourd'hui persiste encore l'écart entre les lois existantes et les mentalités encore discriminatoires contre les femmes. 

Le contexte de la transition a certes,  consolidé l'orientation émancipatrice inaugurée par le code du statut personnel mis en place  des 13 août 1956 par le leader et premier président Habib Bourguiba. Des nouvelles lois ont été adoptées aujourd'hui dans cette période post révolutionnaire, et qui en fait avancer encore plus cet état de fait est émancipateur pour les femmes. la loi sur la parité électorale  parité verticale sur les listes électorales pour les législatives et la parité verticale et horizontale pour les élections municipales.

Cette parité nous à fait montre et des compétences féminines en politique aussi bien au niveau national central qu'au niveau régional et local. 

Un autre étape très importante dans ce contexte post révolutionnaire est la  constitutionnalisation de l'égalité. La constitution tunisienne la nouvelle scène de janvier 2014 à ou  à créer des articles d'où l'article d'un regain la constitutionnalisation de l'égalité.

 En plus la Tunisie en juillet 2017 a fait voter une loi progressive intégrale contre toutes les violences faites aux femmes ceci en plus de l'avis du gouvernement tunisien qui toutes les réserves faites à la convention internationale contre toutes les formes de violences à l'encontre des femmes. Ces conclusions de cette grande qu'une la profondeur du changement du statut  et du rôle des femmes effectivement depuis lob de l'indépendance la Tunisie a vraiment avancé Des pas géants mais avec des bases solides dans l'égalité des genres même si des discriminations  restent encore sur ou au niveau de certaines lois. 

Notamment se matérialisant dans le gap entre la loi la législation émancipatrice, la pratique qui reste entachée par une mentalité  Conservatrices et dominée un peu quelque part surtout dans certains milieux par la mentalité  patriarcale. Pour retenir de l'étude globalement, d'abord la participation effective de la femme dans la vie publique et est intimement lié à sa situation socio-économique et culturelle. Comme les femmes sont autonomes économiquement, elles  sont outillées pour avoir plus de rôle. 

Ensuite là structure traditionnelle constitue obstacle certes à une participation plus soutenue des femmes dans la sphère publique et du privé, mais cet obstacle égale à être à revenir un peu en arrière  par l'activisme et de la société civile par l'intervention aussi des pouvoirs publics. Ensuite l'importance du pouvoir des femmes à transformer de manière plus efficace les sociétés et les mentalités, et nous avons en Tunisie actuelle post révolutionnaire un exemple fort visible le poids et l'impact que les femmes sont en train de jouer sur la situation sociale et politique. 

Ensuite l'importance du rôle de la coupure dans le changement social c'est pour cela qu'on ne doit pas du tout négliger cet aspect de la culture et son impact dans le changement social. les perceptions négatives de l'autre ainsi empêcher le dialogue interculturel pacifique et constructive et cette enquête est d'un un exemple assez élégant est instructive pour nous.

Modifié le: mardi 26 octobre 2021, 18:17